Ça m’rends triste de lire des gens tristes…. Jeeee sais, pas la peine de me faire remarquer que je suis une géniale philanthrope -_-‘ Non, vraiment….
Ça sert à rien, des articles tristes et déprimés, ça rends très mal à la lecture, on regrette toujours de les avoir écrit, après, et c’est totalement inutile mais il faut bien faire des choses inutiles parfois…
01 :26 Même pas les yeux qui se ferment tous seuls. Je suis toujours là. J’ai envie de parler de tout et n’importe quoi à quelqu’un, ou juste faire un câlin à n’importe qui, seulement… y a personne sur msn, ou alors pas franchement coopérant et, je dois dire que faire un câlin a un ordi portable, je suis pas encore assez débile pour le faire
Over-blog bugue complètement. Je déteste les problèmes de réseau.
Je crève de chaud. Normal, avec l’ordi qui souffle de l’air brûlant, ma couette épaisse et mon vieux pyjama tout moche d’hiver. Mais je fais rien pour arranger ça. Putain, qu’est ce que je déteste avoir chaud. Je déteste l’été. J’aime pas le soleil. J’abhorre le camping. Je ne supporte pas la plage.
C’est idiot. Je veux dessiner. J’ai la motivation, j’ai l’idée, je suis encore sur un projet BD, seulement dès qu’il s’agit d’enfermer les personnages dans des cases, je perds tous mes moyens. C’est affreux d’être seule. Le temps d’une nuit. Il fait noir. Personne ne me suit derrière mon écran. Le silence est assourdissant.
Et j‘ai pas de raisons d’être triste,
j’ai pas de raison de pleurer toute seule devant mon clavier,
j’devrais pas être encore éveillée a cette heure et…
Jpense a tout ce que je serais pas. Je saurais pas ce que ça fait d’avoir vécu autrement, d’avoir été quelqu’un d’autre. Je sais que c’est pas possible, mais je voudrais pouvoir tout vivre, tout essayer, tout être et tout devenir à la fois.
Je sers à rien.
Jdevrais dormir.
Mais non. Jpeux pas, il y a toujours cet écran que jpeux pas refermer, je me dis que peut être, ce que je cherche est derrière les pixels, au bout d’une liaison Wi-fi, peut être, Muse, pourquoi me perdre, tu m’as semée et je n’ai plus aucun sens. Si ce que je cherche est au bout de mes doigts, si le sommeil se cache pour mieux me retrouver, que faire alors si tout m’échappe, si l’ombre dissimule des choses que je ne devrais pas voir ? Il y a toujours des choses qui ne sont pas ce qu’elles devraient être, lorsque la lune disparaît derrière les nuages… Le sourd ronronnement d’une machin à rêves, l’ombre qui se referme sur la lumière bleutée, une recherche aveugle qui n’aboutit à rien. Et j’en ai marre de raconter n’importe quoi à un logiciel con. Word, pour les réponses, il est encore moins doué que moi. Je déteste les vacances, et c’est réciproque il me semble.
Crise de déprime post-nocturne, lorsque après minuit plus rien ne sourit…Je déteste le soleil et il me le rends bien. La musique inaudible d’une boîte à musique de l’autre bout du monde, quelques peluches compatissantes, des histoires qui la nuit nous angoissent et nous empêchent d’oublier sereinement que rien ne fût en vain… Les mots ne veulent rien dire, mais tout sauf le silence et le bruit des pensées encombrées. Y a un marteau qui tape dans ma tête sans vouloir s’arrêter… Et plus j’essaye de la vider, plus elle se remplit. J’ai sommeil. Il me manque quelqu’un que je ne connais pas encore. Il se cache dans l’ombre oppressante… J’entends sa respiration, mêlée au bruit de touches du clavier….