En revenant du dépanneur

Un faux pas, une erreur fatale
En un instant, le froid, le noir
Une blessure me faisant si mal
Que je ne pouvais plus rien voir.

Peu à peu, mes veines se glacent
Comme un fleuve en plein hiver
Comme tous les autres qui trépassent
Je vois déjà le cimetière.

Et soudain, je tombe rapidement
Et apparaît soudainement
Une lueur merveilleuse.

Après la mort, c’est le mystère
Ce secret, avec ceux qui tombent,
Sera emporté dans la tombe.

En revenant du dépanneur ?
Mmm... Original.
Même s'il n'est pas des plus longs, il est tout de même très bien concentré. En fait, avec des strophes de plus, il aurait été moins intéressant.
Euh...
Je parle pour ne rien dire, gomen.

Ptdrrr
Ouais, ça, j'avoue qu'il est pas très long. En fait, j'ai enlevé deux vers à l'original (que j'ai perdu quelque part dans mon casier au collège et que j'ai du jeter par mégarde), parce que mon prof de français demandait une forme fixe et du coup, j'ai choisi de faire un sonnet (deux quatrains et deux tercets et non quatre quatrains comme j'ai fait en premier).

Pour le titre, ça évoque la mort de mon grand-oncle, qui, "En revenant du dépanneur", a glissé sur une plaque de glace et s'est assomé sur le trottoir. Décès constaté quelques heures plus tard ...

Alors voila ^^